Quand les paroles furent terminées, le violon et le tambour se firent plus frénétiques ; la musique accéléra soudain, et ils jouèrent d'une joie furieuse, d'une joie désespérée, d'une joie d'affamés qui n'ont qu'elle pour nourriture, de noyés qui n'ont qu'elle pour île et pour refuge, d'une allégresse démente et solennelle venue du fond du ventre, du fond des âges (...)