Ellie, notre précieuse petite fille, qui a d’abord consolidé notre couple, l’a ensuite peu à peu, sans le savoir, profondément lézardé. Ce n’est pas de sa faute, bien-sûr que non. C’est de notre faute, et en même temps de la faute de personne. Ou plutôt si, de celui ou celle qui l’a enlevé, cette personne anonyme dont nous ignorons tout, et contre laquelle il n’y a rien que nous puissions faire.