Elle ne l’avouera jamais. Non, devant les autres, elle abonde toujours dans le sens de son mari. Pas par soumission, mais parce qu’on attend d’elle qu’elle choisisse la raison, la modernité, le confort avant les sentiments. La nostalgie, la sensibilité, c’est le créneau de Louise, voire de Violette. Pas le sien. (Page 162)