Piqué sans répit, l’enfant s’est écroulé agonisant au pied de l’arbre. Quelques jours plus tard, des promeneurs ont retrouvé l’enfant couvert d’abeilles. Mais lorsqu’ils ont chassé les insectes, le corps avait disparu. On peut le voir apparaître certains soirs, attiré par la lumière des campeurs. Il erre parmi nous, solitaire, prisonnier de l’espace et du temps…