Les critiques qui lui avaient fait une « gueule » (comme chez Gombrowicz), qui l’avaient catalogué une fois pour toutes sans avoir même touché un de ses livres – voilà la première raison de la création d’Ajar. (…)
La deuxième raison était sûrement plus sérieuse – la tentation protéenne de multiplicité, d’être soi-même dans plusieurs personnes, bouger, jongler. Le charme revigorant de la nouveauté. De nouveaux livres et si possible au passage une nouvelle vie.