— [...] Voici réunis des gens de toutes classes, de toutes nationalités et de tous âges. Pendant trois jours, ces personnes, étrangères les unes aux autres, vont dormir et manger sous le même toit. Elles mèneront une vie commune, et au bout de ces trois jours, elles se sépareront pour ne se revoir peut-être jamais.
— A moins qu’une catastrophe…
— Ah ! non, mon ami…
— Évidemment, de votre point de vue, ce serait regrettable. Mais supposons un instant qu’un accident se produise. En ce cas, tout ce monde se trouvera uni… dans la mort.