J’allume une lampe torche. […]. Une souris est assise au pied de mon lit et se lisse les moustaches. […]. Max préfère des paroles apaisantes. « Endors-toi. Une fois que tu seras endormie, rien de tout cela ne t’inquiètera plus. » […] Impossible avec toutes ces souris entrain de faire leur gymnastique ― elles ont choisi mon corps comme terrain d’entraînement ! […]. Je parviens à m’endormir un court instant, mais je suis brusquement réveillée par de petites pattes qui court sur mon visage. […]. Ainsi se passe le début de la nuit. A deux heures du matin l’hystérie me gagne.