Quand quelqu’un qu’on aime est mort, chaque fête se transforme en couteau tranchant. J’ai passé trois jours à retenir mes larmes en serrant très fort les yeux. J’ai fait semblant de rire (...) Mais en voyant ma cousine Philomène se blottir dans les bras de tante Nina, c’était comme mille pointes qui cloutaient mon coeur.