Je m’en irai pour un nouvel ailleurs. Il me faudra oublier la place de la Contrescarpe où nous dînions, souvent, le soir au retour de la tannerie. Il me faudra aussi faire le deuil de nos flâneries nocturnes jusqu’au boulevard Saint-Michel, quand nous prenions un verre à la terrasse d’un bistrot avant de remonter par la rue Saint-Jacques. Demain sera un mauvais jour, celui de nos amours mortes.