Même le vieux gardien des ruines de Qamirnah (« la cité de la lune », nom arabe de la ville antique sumérienne d’Ur), qui tue des pilleurs pour que soit préservée la mémoire et l’âme des ancêtres, se récite à lui-même des vers de Zouhayr Ibn Abi-Soulma. À Damas, quatre amis se disputent pour elle tout en invoquant Al-Lout, déesse de la lune (« La lune est aux Arabes ! »)