Citations de Alain Burnand (17)
Si j'avais
Un peu moins souvent
Le nez en l'air
Pour te chercher
Seigneur
Je te trouverais
Plus souvent
Dans le regard
Des autres
Dans leurs joies
Et leurs peines
Dans tout ce qui fait
Qu'ils te ressemblent
(Jeanne-Marie Quinche)
La vie éternelle n'est point un au-delà de la mort physique,
elle est, pour quiconque croit,
participation actuelle à la vie de l'éternellement Vivant.
Communion que rien ne saurait détruire.
(Suzanne de Dietrich)
Il est arrivé quelque chose à la mort
lorsque le Christ l'a subie...
J'ai tout remis entre tes mains :
Que ce soit la joie, la tristesse,
La pauvreté ou la richesse,
Et tout ce que jusqu'ici j'ai craint.
J'ai tout remis entre tes mains.
J'ai tout remis entre tes mains :
Que ce soit la mort ou la vie,
La santé, la maladie,
Le commencement ou la fin.
Car tout est bien entre tes mains.
(Marie Henrioud)
Lorsque dans votre course, vous rencontrez un homme trop las pour vous donner un sourire, laissez-lui le vôtre. Car nul n'a plus besoin d'un sourire que celui qui n'en a plus à offrir.
(Proverbe chinois)
On vieillit. On s'aperçoit que la seule chose qui vous emplisse les mains n'est jamais ce qu'on a pris, mais ce qu'on a donné.
(Catherine Paysan)
Le lion qui tue,
c'est le lion qui ne rugit point.
Il est comme l'argent
qui silencieusement nous étrangle.
(Proverbe africain)
La civilisation, au vrai sens du terme, ne consiste pas à multiplier les besoins, mais à les limiter volontairement. C'est le seul moyen pour connaître le bonheur et nous rendre plus disponibles aux autres.
(Gandhi)
Il subsiste un mystère "musical" des psaumes de la Bible : si les paroles de ces chants ont été conservées, les mélodies, elles, semblent irrémédiablement perdues.
Irrémédiablement ? mais non, Dieu nous offre peut-être à nous la joie de composer à ces psaumes une musique nouvelle : notre vie au jour le jour.
Parler de l'Homme
Sans Dieu en lui
C'est parler d'un arbre coupé.
(Georges Haldas)
Le superflu est nécessaire,
mais sa limite est introuvable.
(Olivier de Dinechin)
Mes amis,
Entendez-vous ce chant
qui passe les portes
et monte à travers la nuit
pour se répandre sur la terre ?
C'est le chants des vivants
qui voudraient danser devant Dieu
car il a fait des merveilles !
"Notre Père" :
en deux mots, nous reconnaissons filiation et fraternité ;
en deux mots, tout l'amour du monde.
(Gilbert Cesbron)
Une trentaine des chansons d'Alain Burnand. Sans solfège ni clé d'harmonie, ces "paroles"auront une chance d’être lues plutôt qu'écoutées.
En regard des strophes, des pages manuscrites racontent les circonstances de ces compositions.
"En d'autres mots, nous avons la joie de vous annoncer qu'à vos deux oui peut s'ajouter un troisième et que votre nom peut trouver sa place dans la grande famille dont Dieu est le Père.
Ainsi, Deux oui pour un nom sera, si vous le voulez bien, votre nouveau faire-part de mariage ..., un faire-part au coeur duquel le mot Joie sera écrit avec des caractères qu'on ne trouve dans aucune imprimerie."
Dieu de justice,
j'en appelle à toi contre toi.
Aide-moi à t'aimer,
aide-moi à croire en toi,
car je meurs de la faim de toi.
(Albert Cohen)
Prenez le temps de feuilleter ces pages, deux surprises vous y attendent :
Leur traduction nouvelle en français courant vous les fera découvrir comme tout à nouveau. Et voici la seconde surprise : vous n'y avez pas rendez-vous avec des mots, des phrases toutes faites, de pieuses formules !
Mais avec des hommes en prière... Des hommes d'autrefois que leur prière nous rend étonnamment proches ; des hommes fraternels qui s'offrent à vous tendre le verre d'eau qu'ils sont allés chercher - fort loin parfois - à la source vive...