Mallarmé fait partie des trois créateurs qui m’ont le plus influencé, avec Nietzsche et Deleuze. C’est mon phare stylistique, au sens du poème de Baudelaire. Dès que je lève la tête pour progresser, dès que j’essaie de remuer et tordre, décaler ou renverser ma syntaxe, c’est vers lui que je vais.