Les artistes, en effet, pas plus d’ailleurs que les poètes, ne se souciaient alors de réalisme. Ils figuraient des symboles et s’en tenaient aux formules convenues. N’espérons donc pas découvrir la physionomie particulière de ces femmes sur les très rares effigies qui sont parvenues jusqu’à nous. […] Elles ne seront jamais pour nous que des ombres indécises, sans contour, sans profondeur, sans accent.