À Jean-Marie Flemal,
Extrait 1
Il m’a semblé voir l’autre nuit
dans les feux des projecteurs
un goéland qui ressemblait à Zappa
fiente de mémoire
où les reflets du texte
s’en viennent déchoir
les quelques bribes dodécaphoniques
l’éveil du pire
capable de vomir à tous les vents
l’emporte-vie sous des néons d’absence
le goéland avait un bec morose
dire qu’il en faut si peu pour naufrager
…