Peut-être sommes nous prêts à concéder que le désir est innocent et le plaisir coupable, que la jouissance est un puits de solitude ou que le rut est d'essence égoïste, mais nous défendrons toujours l'essentielle primauté de l'intimité et l'impérieuse nécessité de la caresse, et nous déplorerons que Pétrarque ait cru bon de renier ces évidences.