C'est à la fin du XVIIe siècle, notamment par la construction d'observatoires et la création de corps de fonctionnaires royaux, que va se faire la césure entre une activité, l'astrologie, interdite aux académiciens par Colbert (1666) et sans aucun fondement scientifique, et une science moderne, l'astronomie, fondée sur des postulats soumis à vérifications, modélisations et activités d’investigations du réel.