La "conciliation" serait donc bien un des traits constitutifs de la culture politique brésilienne. Mais, en fait, tout dépend de l'angle d'approche et du site observé. Au-delà du théâtre d'ombres de la scène nationale, où les élites s'efforcent de gérer leurs différences, c'est à l'échelon local que se trouvent les véritables structures de domination et donc les enjeux sociaux porteurs de conflits d'une impitoyable violence.