Mais il n’y avait pas que l’or. Aussi la nacre et des pierres semi-précieuses dont il voulait se servir pour parer ses modèles. Ce qu’il aimait dans la technique des mosaïstes de Ravenne, c’étaient leurs fonds dorés qui faisaient ressortir le motif de façon presque surnaturelle. Il jaillissait ainsi de nulle autre part que de ces faisceaux de lumière, lui donnant une présence universelle. Le contexte spatial était ainsi évité et dans cet évincement seul le motif, ses femmes fatales par exemple, devenait un objet sacral.