En somme, la terre est pleine d’embûches, la mer est un vaste cimetière et le ciel lui-même, ce champ de nos rêves, ce refuge de notre croyance, ce monde limpide, fluidique, léger, sort soudain de son silence divin pour gronder sur nos têtes. Je n’admets pas cette erreur de la nature !… Le ciel devrait rester sacré, c’est-à-dire indifférent et silencieux. Voyez comme il est bas… et il descend… et il descend… Est-ce qu’il va nous écraser comme des noix, nous, les maisons, la forêt ?