Il y a en quelque sorte un travail de " sur-scénarisation ", une deuxième, ou plutôt une troisième écriture. Le scénariste a décrit la scène avec des mots, le réalisateur, en filmant, lui a donné vie, et le monteur détermine sa forme définitive. C'est comme un entonnoir : à chaque le passage devient plus étroit.
DIALOGUE (1).