Tout comme Charles Gill, Ferland écrivait la nuit. Comme il l’a dit, il avait horreur de « la ville inhumaine, férocement bruyante et bouillonnante avec ses autos criards et assassins et ses radios et ses tramways ». Alors, il travaillait lorsque la fourmillière humaine est plongée au sommeil, que la cité est silencieuse, et ne se levait qu’à midi pour le déjeuner-dîner.