La civilisation pénétrera alors, avec nos produits, dans cette partie de l’immense continent, et le voile mystérieux qui plane encore sur ces contrées, sera complètement déchiré. L’illusion poétique y perdra peut-être un peu ; mais l’humanité, le commerce national et la science y gagneront beaucoup.
(p. 47, Chapitre 4, “D’Obock à Singapoore”).