Ils optèrent donc pour un moindre mal : relâcher un élément subversif, un meurtrier prêt à passer à l'acte, mais de seconde zone et, somme toute, contrôlable, pourvu que soit éliminé un extraordinaire agitateur de consciences, dont la remise en liberté pourrait avoir des conséquences incalculables. Qu'on laisse la vie sauve à Barabbas, si cela permettait de tuer Jésus.