Très belle préface de Gilles Farcet que j'ai relue, corrigée :
Voici l'extrait apprécié :
Nous nous étiolons de ne plus oser
admirer, raidis que nous sommes dans notre cynisme.
En ces temps où la règle est de s'appesantir sur
les limites de ses semblables pour mieux se conforter
dans sa médiocrité, je réclame le droit à l'ad-
miration.
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