Car à présent ma fuite n'avait plus de but et, malgré mon désir de liberté, à l'évidence j'étais toujours un de ces hommes qui, sans un but, sont incapables d'aller de l' avant. (...)
C'est vraiment dommage que nous, les êtres humains, ne soyons pas exactement comme les arbres , nus et purs jusqu'aux racines (...) même en mourant, il se change en vie pour un autre arbre; il le fait avec l'élégance et la clarté dont seuls les arbres sont capables, dans un silence parfait et le respect de la beauté. (p. 202-203)