Au premier plan, un acacia, cet épineux qui parsème les abords sauvages du Kalahari : longues épines blanches pour mettre en garde, feuilles gris-olive qui contrastent, délicates. Parmi ses branchages, en fin d’après midi ou dans la fraicheur du petit matin, on pouvait voir – ou plutôt entendre un touraco vert.