Et, au sommet de cette échelle, il y a les solitaires qui paraissent n'avoir besoin d'aucune compagnie. Eh bien, ce serait erreur de le croire. J'en connais quelques-uns de ceux-là qui vivent pendant des années dans des endroits presque inaccessibles, sans voir qui que ce soit. Leur solitude n'est qu'apparente. Leur esprit est un monde, un monde peuplé d'êtres-idées innombrables et leur caverne est un salon où l'on cause... où l'on cause même fort bien.