MARILYN (à Marilyn Monroe)
Je me noie dans les yeux de Marilyn
Je me perds dans ce rêve noir et blanc
Encore une fois je l’imagine
Devant moi, dévoilée par le vent
Dans ses bras je tangue, elle me câline
J’en oublie si tendrement
Toutes mes peurs assassines
Dans ce navire qui vogue lentement
Je me noie dans les yeux de Marilyn
Dans ses soupirs tous si charmants
Ses seins, ses jambes, ses formes fines
Me font oublier le présent.
Bercé, choyé par ma Marilyn
Le temps coule paisiblement
Et dans ses bras tellement fragiles
Je m’endors tout, tout doucement.