La comtesse prenait part à toutes les frivoles distractions de la vie mondaine, elle se traînait à toutes les fêtes, et là, fardée et parée à la mode ancienne, se tenait assise dans son coin, ornement hideux et obligatoire des salles de bal. Les invités en entrant s'approchaient d'elle avec de profonds saluts, comme on accomplirait un rite. Puis personne ne s'en occupait plus.