À propos de l’alcoolisme, il faut reconnaître qu’ici, toute la consommation, que ce soit par les orthodoxes ou par ceux des autres confessions, procède d’une même tristesse propre à ce pays. Tout y est bien trop grand, bien trop imposant. Les espaces lointains, les épaisses forêts, les tuyauteries sans fin, et quelle que soit la direction vers laquelle on s’écoule à travers elles, on n’arrivera jamais nulle part.