Les reflets ferment sur le mystère des eaux noires une taie définitive, un silence qui est un son infiniment négatif.
[…] Seuls les moucherons, englués à la surface où la permanence de l’ivresse les a fait trébucher, signent en lignes tétanisées, en décollages impuissants d’hydravions, des appels cryptographiques.
Les gobages des poissons et leurs ondes encerclées sont l’unique réponse des profondeurs. (p. 19)