Les oiseaux badinent avec le vent
Éclairant les limbes de mon jardin
Puis replient leurs ailes et laissés à la paix
Allient leurs chants envolés.
Ce n'est pas qu'il n'y ait personne d'autre
Mais mon cœur s'attache à toi si souvent.
Cette attente sans répit ressasse ma peine.
Qu'y puis-je?
Tao Yuan Ming