Van Dyck est le peintre le plus mystérieux peut-être, non seulement de l'école flamande, mais de toutes les écoles. Sa vie est pleine d'ombres jalouses, impénétrables, que le regard se fatigue à vouloir sonder. Bien différent de Pierre-Paul, qui écrivait beaucoup, il semble qu'il ait eu horreur de la plume : on ne connaît de lui que deux ou trois lettres insignifiantes.