p. 128: "L'idée de faire de Justine mon esclave commençait à me tourmenter. Elle témoignerait d'une dévotion sexuelle totale, assouvirait tous mes caprices érotiques. Je fantasmais sur la malléabilité de son corps, ses postures, sa bouche offerte, ses mains caressantes, ses jambes largement ouvertes révélant son intimité vermeille. Je la regardais enchaînée au lit comme un chien".