Comme Jacques ne jetait jamais rien, elle [l'armoire] était pleine à craquer. Néanmoins, aucun désordre apparent. Tout était rigoureusement organisé selon un code couleur précis. Sur chacune des étagères reposaient trois piles de vêtements bien distinctes : une pour le linge blanc, une seconde pour les teintes vives et une troisième pour les couleurs foncées. La répartition suivait par ailleurs une logique implacable.