Il se détourne et s’éloigne d’un pas, puis s’arrête, index levé, pour lancer par-dessus son épaule :
— Ne bougez pas.
J’obéis. Je reste les fesses à l’air, jupon relevé, offrant le spectacle de ma nudité au maître du manoir. Il semble malgré tout enclin à en profiter un peu, par ailleurs. Après avoir ramassé son cognac au passage, il va s’asseoir sur le bras d’un des sofas, puis il m’observe en sirotant une gorgée du digestif.