Parfois, j'ai envie de lever la main sur lui, d'évacuer des années de frustration à la vue de ce fils brillant, prisonnier dans sa coquille soyeuse. Mais je n'ai pas suffisamment de volonté pour ça.
Il lit dans mes pensées, il lit ma tristesse. Il lit ma colère. Elles illuminent ma rétine comme les éclairs illuminent le ciel un soir d'orage.
Puis elles disparaissent.