Et parce que je déteste les yeux des autres sur moi, aujourd’hui, j’ai décidé de changer. Je porte un jean confortable – tellement confortable que j’ai de la place pour une autre Francisca et un violoncelle –, des chaussures basses, si basses que seul le centre de la terre est plus bas, et un manteau en laine grise qu’on ne trouverait même pas dans la garde-robe d’une bonne sœur.