Lawrence R. Fansler, doyen des associés du cabinet Darwin Darwin Erasmus & Mendel (...), devisait aimablement avec un autre associé. ''Deviser" n'était d'ailleurs pas le terme exact. Fansler ne savait pas deviser. Soit il donnait des ordres, soit il pontifiait ; ou encore, lorsque aucun de ces modes ne semblait lui convenir, il adoptait ce ton bonhomme pour lequel il était réputé dans la maison. C'était le signe qu'il désirait quelque chose.