« Dans l’océan de ses iris, je ne vois plus qu’une mer déchaînée, une tempête prête à éclater. Sa fureur me frappe, m’immobilise. Et sans que ça n’ait aucun sens, mon angoisse s’évapore, ma peur disparaît, mon agonie se tait, pour laisser place à un sentiment dérangeant, foudroyant. Le désir. »