- Viens dans la chambre.
– Je ne coucherai pas avec toi Beresford.
– Je ne te le demande pas, tu ne te souviendrais pas de mes exploits, ce n’est pas drôle.
Pauv’con.
Juste au moment où je commence à trouver bizarre qu’il soit aussi gentil. Chasser le naturel, il revient au galop. J’entends d’ici les cors.
– Allez, se lasse-t-il rapidement parce que je ne réponds pas.
Je n’ai pas envie de répondre. C’est déjà assez humiliant d’être là avec mon patron dans cet état de déchétude (mot que j’ai inventé oui mais qui exprime bien mon état actuel). Mais j’aurai honte demain si j’ai le temps. Pour l’instant, je veux juste qu’il me laisse tranquille pour dormir.