Amélie C. Astier

C’est comme ça que commence la passion… ou la descente aux Enfers. L’homme est si faible dans les bras réconfortants d’une femme, entre la chaleur de ses cuisses qui vous donne cette sensation que rien ne vous rendra craintif.
C’est bien pour ça qu’on a passé des siècles à les persécuter, à en faire des faibles pour qu’elles ne nous rendent pas faibles.
On les traite de sorcières pour ne pas reconnaître leur besoin d’indépendance et leur intelligence.
On les a asservies, et réduites à des rôles de mères porteuses pour ne pas leur donner trop d’importance.
On a fait tant de choses aux femmes par crainte. Par peur qu’elles nous dominent. 
Il suffit de jeter un œil à l’histoire et de fouiller entre les grandes vérités des événements pour faire le tri dans ces réalités, et bien souvent, derrière un conflit, une bataille, un tournant historique, il se cache toujours une femme. Elles nous dominent avec amour et soutien.
Les femmes sont malignes, bien plus que nous. Elles savent réfléchir avec le cœur et l’esprit, quand nous les hommes, nous réfléchissons avec notre tête et notre queue. Et bien souvent, il y a des courts-circuits.