"ouvre , ma chérie, ouvre cette porte, je suis là, ouvre-moi" C'est son Elsa qui se contente de la prendre dans es bras comme derrière le grand marronnier, qui les serre fort, elle et ce petit tout pourri qu'elle regrette d'avoir fait., dont elle ne veut pas, qui a arrêté de pleurer depuis bien longtemps mais dont la cagoule est trempée de sueur et des pleurs que sa mère a pour la première fois versés.