Je poussai une porte et arrivai dans une autre pièce, vide également. Cette pièce donnait sur une pièce d’un vide comparable, qui elle-même débouchait sur le vide d’une pièce, et ainsi de suite. Il eût été impossible de nommer ces pièces en fonction d’une terminologie classique, de penser, par exemple, que ceci était le salon, la salle à manger, le bureau ou la chambre à coucher. Le seul terme vague qui eût pu convenir à chacune de ces pièces était le mot débarras. Car le vide de ces pièces n’était pas absolu. Il y avait toujours, dans un coin, un amoncellement de choses indéfinissables.