L’un des maux de cette époque est que l’on ne peut plus demander aux gens ce qu’ils font. Cette question jadis innocente entraîne aujourd’hui un malaise trop profond. Le chômage y est pour beaucoup. Je trouve cela dommage. Si quelqu’un me disait très simplement qu’il ne faisait rien dans la vie, j’aurais pour lui de l’admiration. Il est magnifique de ne rien faire. Si peu de gens en sont capables.