Il n'y avait dans la vie presque jamais, voire jamais, de bonne décision. Une décision n'était jamais parfaite, il ne s'agissait que de prendre la meilleure selon les circonstances. Pour cela, il fallait envisager les conséquences de chaque choix en essayant de prévoir l'imprevisible.
[...]
Sous les deux colonnes, avec la mention "Imprévisible", il écrivit :
VIOLENCE