AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Ana Mirallès (229)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Dans les arabesques de la peau !





Ana Mirallès est une illustratrice et dessinatrice de BD espagnole née en 59, qui travaille régulièrement avec son compatriote et compagnon Emilio Ruiz. Ensemble ils ont signé l’album érotico-pornographique ‘Corps à corps’ (1991), après quoi elle a fait paraître durant ces mêmes années 90, la trilogie ‘Eva Medusa’ avec la collaboration d’Antonio Segura, puis à nouveau avec son compagnon Emilio Ruiz, le triptyque ‘A la recherche de la licorne’. Mais ce n’est qu’en 2001 que celle qui sait si bien éveiller et entretenir nos fantasmes, et pour une fois les femmes devraient y trouver leur compte, a vraiment cartonné grâce à la formidable série ‘Djinn’ scénarisée par le Français Jean Dufaux. Et tout en continuant de travailler sur ‘Djinn’, elle a lancé en 2011 une toute nouvelle série, avec Emilio Ruiz, ‘Murraqqa’’, dont l’action se déroule à la cour de l’empereur moghol Jahangir au XVII° siècle.





‘Djinn’ est une saga qui comprend, à l’heure actuelle, 3 cycles :





- Le cycle ottoman de 4 volumes + 1 artbook





- Le cycle africain de 5 volumes + 1 artbook





- Le cycle indien qui comprend pour le moment 1 volume





‘Djinn 3 : le tatouage’(2003) - 46 pages en couleur directe (ce qui nous vaut de belles aquarelles) :





De nos jours (plus ou moins), une jeune britannique, Kim Nelson, se rend à Istanbul dans l’espoir de pouvoir s’y informer sur sa grand-mère, Jade, qu’elle n’a pas connue, mais qui fut la favorite du Sultan Murati dans les années qui précédèrent la première guerre mondiale. A partir de là, nous avons droit en parallèle à l’histoire de Kim comme à celle de Jade :





Au départ à Istanbul en 1912, le Sultan Murati donne carte blanche à sa favorite, la superbe Jade, aussi cruelle que splendide, pour qu’elle s’emploie à séduire Lord Nelson, un attaché de l’ambassade de la Couronne britannique. Dans un premier temps, Jade s’applique à enjôler la jeune et naïve Lady Nelson et en fait son esclave sexuelle…





Dans le deuxième tome, Jade fait subir à Lady Nelson le supplice des 30 clochettes qui devrait mener celle-ci dans les bras du Sultan ; mais l’époux de la belle Lady veille, pénètre dans le harem et tente de faire s’en échapper sa femme…





Dans ce troisième tome, Jade se retrouve dans les bras de Lord Nelson : comme le Sultan a enlevé à celui-ci son épouse, que le dit Anglais n’a su retrouver dans le dédale du gynécée du Sultan, Lord Nelson a finalement enlevé la favorite du maître des lieux et s’est enfui avec elle…





Au départ également et à Istanbul toujours, mais de nos jours, un homme d’affaires ruiné, Amin Doman, se greffe sur les recherches qu’effectue Kim ; il tient absolument à s’emparer du trésor caché et jamais retrouvé du Sultan noir (le surnom de Murati). Heureusement pour Kim, un jeune et bel ange gardien, Ibram Malek, veille sur elle…





Dans le deuxième tome, Kim réussit, avec l’aide de Malek, à arriver, quelque part dans les montagnes, jusqu’au nid d’aigle d’Ebu Sarki, le seul homme qui puisse lui en apprendre plus sur sa grand-mère ; mais elle aussi doit subir l’épreuve des 30 clochettes avant que de pouvoir approcher l’homme qui, dans sa forteresse de Morta Sala, perpétue l’ancienne tradition des harems et y reçoit, à l’occasion, de très riches clients, qui paient des fortunes pour venir assouvir leurs fantasmes les plus secrets dans son gynécée…





Dans ce troisième tome, Kim, pour sauver Malek, fait prisonnier et mis à mal par Ebru Sarki, accepte de se donner aux invités de celui-ci…





‘Djinn - le premier cycle’ est une fresque sur la fin d’une époque, celle des derniers Sultans et de leurs mythiques harems, qui furent autant des lieux de complots, voire de crimes que de séduction. Et c’est bien sûr aussi une réflexion sur les jeux de pouvoir : qui, du maître ou de l’esclave le détient : le corps de la Femme restera toujours le pouvoir suprême devant lequel l’Homme ne pourra s’empêcher de plier. ‘Djinn’ est une porte ouverte sur les fantasmes, un caillou dans les eaux dormantes de nos libidos. Et si vous preniez un peu de ce puissant aphrodisiaque ?

Commenter  J’apprécie          10
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Un très beau tome
Commenter  J’apprécie          00
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Le charme de Jade agit sur tous, la séduction prend des allures d'hypnose..Croiser Jade, c'est risquer de se perdre, le jeu en vaut-il la chandelle ? Et comment Kim peut-elle trouver sa place dans cette lignée sulfureuse

?
Commenter  J’apprécie          40
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Le tatouage fait davantage avancer le Cycle ottoman dans la fin approche (déjà !) à grands pas. Lady Nelson passe au second plan laissant la première place à son lord de mari ainsi qu'à Jade, dont le rôle est de plus en plus envoûtant et mystérieux.



Arrivée au terme de son initiation, Kim apprend de nombreuses choses qui vont lui être utile pour se lancer sur la piste d'un trésor tant convoité. Si la partie contemporaine de l'histoire tient une plus grande place que précédemment, elle ne reste qu'une sorte de prétexte un lien pour étoffer le scénario. Seul les deux hommes qui semble-t-il vont devoir revêtir le rang de méchants suscitent des questions. Ceux-ci semblent être plus retors et complexe qu'à première vue.



Le trait d'Ana Miralès atteint ici son niveau de maturité. Il n'y a pas une planche, pas un personnage qui ne soit pas réussi. Tout est absolument sublime : qu'il s'agisse des scènes dans le dessert, des batailles diplomatiques ou tour simplement les dessins plus intimistes et ô combien réussis.



Les quelques faiblesses qui ont pu être notées par le passé sont ici oubliées. L'histoire d'amour est subtilement composée : tout en restant centrale elle ne demande pas une attention exagérée. Le récit est assez équilibré pour plaire à un large panel de lecteur (et de lectrices).



Assurément voici un point fort de la série ! La suite... vite !
Commenter  J’apprécie          110
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Dans ce tome, on retrouve le scénario de qualité du premier que l'on avait un peu perdu de vue dans le second. C'est surtout l'histoire de Lord Nelson qui est intéressante. Elle se résume dans la formule tel est pris qui croyait prendre avec un rebondissement intéressant puisque l'arme fatale du sultan lui échapper en définitive.



Dessin et mise en couleur toujours parfaits. L'histoire de Kim à ce stade reste un peu plus fade. Il reste un tome dans ce cycle pour nous offrir quelque chose d'attrayant.



Belle trouvaille que cette histoire de tatouage, reflet des sentiments..
Commenter  J’apprécie          40
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Dans ce troisième tome, Kim marche toujours sur les traces de son ancêtre à la recherche de ses origines mais surtout d'un trésor dont elle soupçonne Jade de l'avoir dérobé au Sultan. Jade quant à elle se retrouve être l'incarnation du désir du couple d'anglais Nelson. Jade est un personnage envoûtant, d'une sensualité rare, mais avant tout un djinn, un esprit maléfique, et surtout une femme de pouvoir qui sait obtenir ce qu'elle veut par ses charmes.
Commenter  J’apprécie          40
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Je ne suis pas très BD, mais il m'arrive de m'égarer à la bibliothèque, surtout si j'ai peu de temps pour "vraiment" lire ou quand j'ai envie de changement. Djinn est une assez bonne surprise. Graphiquement, c'est coloré, avec deux fonds différents pour les moments passés (la vie de JAde) et la quête de Kim dans le présent. L'histoire joue avec L Histoire et les fantasmes de l'Orient des harems avant la Première Guerre Mondiale, dans un empire ottoman en déclin. Les femmes donnent leur corps mais y gagnent le pouvoir : Jade semble être la servante du sultan mais joue son propre jeu, avant de s'y prendre elle-même ... Kim pour retrouver cette grand-mère rêvée marche dans ses pas au sens littéral du terme et accepte de traverser les mêmes étapes/épreuves....ce 3° tome fait avancer l'histoire un peu plus vite; je me suis habituée aux changements d'époque sans signal particulier et au personnage de Kim que je trouverais relativement sympathique au début; Malek me semble bien fade à côté des autres personnages : on verra la suite ...bientôt !
Commenter  J’apprécie          30
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Après deux tomes principalement axés sur l’univers des harems et le développement de la psychologie de Jade et Kim, comme dans tout monde qui se respecte, c’est la quête de l’argent et en particulier du trésor du Sultan qui va prendre le dessus à partir de ce troisième tome.



A l’aide d’un va-et-vient habile entre les deux périodes, on continue de suivre parallèlement le destin de Kim et Jade, qui partent à la recherche du trésor en espérant s’y retrouver d’une manière ou d’une autre.



Et au fur et à mesure que le trésor refait surface, la sensualité fait place à l’aventure, aux manipulations et aux relations diplomatiques.
Commenter  J’apprécie          40
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

Malgré une histoire qui s’accélère un peu et le soupçon de fantastique qui fait son apparition, j’ai encore une fois trouvé le scénario assez moyen. Rien de catastrophique heureusement, mais mon intérêt reste assez limité. Il me reste encore un album pour terminer ce cycle, je ne sais pas encore si j’entamerai le second. Si c’est le cas, cela sera encore une fois pour le coup de crayon d’Ana Mirallès que trouve toujours très réussi.
Commenter  J’apprécie          10
Djinn, tome 3 : Le Tatouage

J’ai aimé ce tome un peu plus que les précédents. Le charactère de Jade évolue et ça devient très intéressant. Pendant ce temps-là, Kim continue de marcher dans les pas de sa grand-mère. On en apprend plus sur ce qu’est une Djinn. En tout cas, le rythme est parfait.



Je recommande si vous êtes à l’aise avec des scènes érotiques et un peu de bagarre.



3.5/5

Commenter  J’apprécie          10
Djinn, tome 4 : Le Trésor

Ce quatrième tome est le dernier du cycle 1. Du coup, on finit sur une fin à suspense qui m’a bien donné l’envie de lire le cycle 2. J’ai beaucoup aimé ce tom plein de mystère. Nos personnages atteignent enfin le trésor mais ce n’est pas exactement ce qu’ils pensaient. De plus, c’est une bande-dessinée joliment historique je trouve.
Commenter  J’apprécie          20
Djinn, tome 4 : Le Trésor

Un tome qui semble être fait pour créer du lien avec le suivant et intriguer le lecteur, mais qui n'apporte pas grand chose. Je ressors dubitative de cette lecture, comme si je m'étais faite embobiner par ces magnifiques dessins alors que l'intrigue ne mène nulle part. De plus, les raccourcis sont nombreux et les allers retours dans le temps aussi ce qui apporte de la confusion. Je suppose qu'il faudra une vue d'ensemble de tous les tomes pour comprendre, mais à ce stade j'ai le sentiment qu'on me fait un peu tourner en bourrique.
Commenter  J’apprécie          92
Djinn, tome 4 : Le Trésor

Ce tome de Djinn est un épisode de transition tout comme dans l'histoire avec un grand H. C'est la fin du monde Ottoman. Le sultan libère d'ailleurs toutes les femmes de son Harem. Cet album qui mène au cycle africain est différent des autres. En effet, les personnages vont vivre une aventure à la Indiana Jones avec un surprise de taille à l'arrivée.



Les dessins sont sublimes et sont encore plus beaux que dans les précédents tomes. 
Commenter  J’apprécie          31
Djinn, tome 4 : Le Trésor

Au seuil des souhaits exaucés !





Ana Mirallès est une illustratrice et dessinatrice de BD espagnole née en 59, qui travaille régulièrement avec son compatriote et compagnon Emilio Ruiz. Ensemble ils ont signé l'album érotico-pornographique 'Corps à corps' (1991), après quoi elle a fait paraître durant ces mêmes années 90, la trilogie 'Eva Medusa' avec la collaboration d'Antonio Segura, puis à nouveau avec son compagnon Emilio Ruiz, le triptyque 'A la recherche de la licorne'. Mais ce n'est qu'en 2001 que celle qui sait si bien éveiller et entretenir nos fantasmes, et pour une fois les femmes devraient y trouver leur compte, a vraiment cartonné grâce à la formidable série 'Djinn' scénarisée par le Français Jean Dufaux. Et tout en continuant de travailler sur 'Djinn', elle a lancé en 2011 une toute nouvelle série, avec Emilio Ruiz, 'Murraqqa'', dont l'action se déroule à la cour de l'empereur moghol Jahangir au XVII° siècle.





'Djinn' est une saga qui comprend, à l'heure actuelle, 3 cycles :





- Le cycle ottoman de 4 volumes + 1 artbook





- Le cycle africain de 5 volumes + 1 artbook





- Le cycle indien qui comprend pour le moment 1 volume





'Djinn 4 : le trésor' (2004) - 46 pages en couleur directe (ce qui nous vaut de belles aquarelles) :





De nos jours (plus ou moins), une jeune britannique, Kim Nelson, se rend à Istanbul dans l'espoir de pouvoir s'y informer sur sa grand-mère, Jade, qu'elle n'a pas connue, mais qui fut la favorite du Sultan Murati dans les années qui précédèrent la première guerre mondiale. A partir de là, nous avons droit en parallèle à l'histoire de Kim comme à celle de Jade :





Au départ à Istanbul en 1912, le Sultan Murati donne carte blanche à sa favorite, la superbe Jade, aussi cruelle que splendide, pour qu'elle s'emploie à séduire Lord Nelson, un attaché de l'ambassade de la Couronne britannique. Dans un premier temps, Jade s'applique à enjôler la jeune et naïve Lady Nelson et en fait son esclave sexuelle...





Dans le deuxième tome, Jade fait subir à Lady Nelson le supplice des 30 clochettes qui devrait mener celle-ci dans les bras du Sultan ; mais l'époux de la belle Lady veille, pénètre dans le harem et tente de faire s'en échapper sa femme...





Dans le troisième tome, Jade se retrouve dans les bras de Lord Nelson : comme le Sultan a enlevé à celui-ci son épouse, que le dit Anglais n'a su retrouver dans le dédale du gynécée du Sultan, Lord Nelson a finalement enlevé la favorite du maître des lieux et s'est enfui avec elle...





Dans le quatrième et dernier tome, c'est la fin de l'Empire : le Sultan noir libère ses oiseaux et ses femmes (dans cet ordre-là !) ; Jade, qui lui était revenue, après le décès des Nelson, s'est vue confier une dernière mission : conduire les Allemands, les nouveaux alliés du Sultan, jusqu'à son mythique trésor, enfoui quelque part dans les sables du désert...





Au départ également et à Istanbul toujours, mais de nos jours, un homme d'affaires ruiné, Amin Doman, se greffe sur les recherches qu'effectue Kim ; il tient absolument à s'emparer du trésor caché et jamais retrouvé du Sultan noir (le surnom de Murati). Heureusement pour Kim, un jeune et bel ange gardien, Ibram Malek, veille sur elle...





Dans le deuxième tome, Kim réussit, avec l'aide de Malek, à arriver, quelque part dans les montagnes, jusqu'au nid d'aigle d'Ebu Sarki, le seul homme qui puisse lui en apprendre plus sur sa grand-mère ; mais elle aussi doit subir l'épreuve des 30 clochettes avant que de pouvoir approcher l'homme qui, dans sa forteresse de Morta Sala, perpétue l'ancienne tradition des harems et y reçoit, à l'occasion, de très riches clients, qui paient des fortunes pour venir assouvir leurs fantasmes les plus secrets dans son gynécée...





Dans le troisième tome, Kim, pour sauver Malek, fait prisonnier et mis à mal par Ebru Sarki, accepte de se donner aux invités de celui-ci...





Dans ce quatrième et dernier tome, Kim, possédée par l'esprit -le djinn- de sa grand-mère, conduit à son tour Amin Doman et ses hommes sur les traces du trésor jamais retrouvé du Sultan noir...





'Djinn - le premier cycle' est une fresque sur la fin d'une époque, celle des derniers Sultans et de leurs mythiques harems, qui furent autant des lieux de complots, voire de crimes que de séduction. Et c'est bien sûr aussi une réflexion sur les jeux de pouvoir : qui, du maître ou de l'esclave le détient : le corps de la Femme restera toujours le pouvoir suprême devant lequel l'Homme ne pourra s'empêcher de plier. 'Djinn' est une porte ouverte sur les fantasmes, un caillou dans les eaux dormantes de nos libidos. Et si vous preniez un peu de ce puissant aphrodisiaque ?

Commenter  J’apprécie          40
Djinn, tome 4 : Le Trésor

Tout comme le tome 3, je n'ai pas été enthousiasmée par ce tome 4 comme je l'avais été par les 2 premiers. J'ai l'impression de ne pas avancer dans l'histoire, que cela traîne en longueur. Les dessins sont toujours aussi beaux mais le scénario se tire sans vraiment être exhaltant.


Lien : http://jenta3.blogs.dhnet.be..
Commenter  J’apprécie          20
Djinn, tome 4 : Le Trésor

De l'action enfiiiiiinnn !!!! C'était pas trop tôt !



Nos deux héros se transforment cette fois en explorateurs aventuriers façon Indiana Jones, avec de surprenantes découvertes à la clé.
Commenter  J’apprécie          120
Djinn, tome 4 : Le Trésor

J'ai arrêter la série au tome 4 je n'accrochais plus.
Commenter  J’apprécie          00
Djinn, tome 4 : Le Trésor

Fin du cycle ottoman. Comme esquissé dans les 3 premiers tomes, les deux histoires, aux deux époques, se rejoignent et s'emmêlent, sans vraiment se démêler, ce qui n'est pas une surprise.



Sinon, que serait le mystère ?



Et pourquoi continuerait-on la série ?



Peu ou pas d'érotisme dans ce tome (je le regretterais presque ;) ), juste le récit, le scénario, que, pour ma part, je trouve assez solides, à l'échelle de ce qu'on trouve dans les très bonnes séries BD.



Je me pourlèche les babines par avance de la lecture du deuxième cycle !
Commenter  J’apprécie          30
Djinn, tome 4 : Le Trésor

Quatrième tome de Djinn et dernier du Cycle ottoman, cet album termine l’histoire entreprise par Miss Nelson sur son aïeule en quête d’un trésor qu’elle souhaite retrouver. La recherche dans le désert est violente pour les personnages qui tournent autour du personnage principal pour finalement nous rendre compte qu’il ne se trouve peut-être pas là où on le pense. L’histoire paraît un peu nébuleuse et certaines scènes sont complètement chaotiques. Le scénario est bizarrement fait au détriment d’une compréhension générale. Seule la chute paraît irréelle, Miss Nelson s’étant obliger à parcourir l’univers du harem pour pas grand chose et qui lui serait arrivé presque avec autant de facilité.

Le graphisme retrace toujours aussi bien l’ambiance du désert, de la politique du siècle dernier, et des coucheries, mais il faut reconnaître que le niveau n’est pas à la hauteur de la couverture qui en revanche elle est franchement magnifique. L’art de ces albums résident dans leur apparence extérieure. C’est beau, envoûtant, sensuel…

En somme, ce tome est assez décevant et l’ensemble de ce premier cycle ne semble pas à la hauteur du succès de cette série.
Commenter  J’apprécie          00
Djinn, tome 4 : Le Trésor

L'histoire se poursuit avec ce quatrième tome. Les atouts de la série sont toujours présents à savoir le graphisme et la mise en couleur toujours aussi bons. Le cycle se déroule au milieu d'un harem ottoman. Le cors des femmes y est donc magnifié sans jamais tomber dans le vulgaire. La trame historique est très intéressante.



Ce tome laisse place à l'aventure. Il débute sous les meilleurs auspices avec cette recherche du trésor et ce temple au milieu du désert. Par contre, cette sorte de mirage sous forme de succursale de banque suisse n'est pas à mon goût. Cela gâche l'ambiance jusqu'ici magique de l'album et clôt ce cycle en queue de poisson. Dommage !
Commenter  J’apprécie          30




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur
Lecteurs de Ana Mirallès (735)Voir plus

Quiz Voir plus

Mistinguette 1-2-3

Quel est le prénom de Mistinguette?

Chloé
Anissa
Leslie
Florence

10 questions
10 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}