Les questions d’identité sexuée mettent en lumière ce paradoxe : il est en effet troublant de constater que contrairement à toutes sortes d’avantages morphologiques, physiques, physiologiques ou génétiques qui suscitent l’admiration, seule la supériorité imputée à l’intersexuation est contestée. Le brouillage qu’elle opère sur la catégorisation sexuée désoriente les milieux sportifs