« Rango, viendrez-vous jouer à ma soirée ? » demanda-t-elle avec douceur, avec ferveur, et Rango qui sortait s’inclina devant elle avec un geste magnifique d’acceptation, un geste qu’il avait fallu des siècles de stylisation et de noblesse pour parfaire, un geste qui disait toute l’ample liberté du corps d’un homme sans contraintes.
« Quand vous voudrez. »