Le visage de Joseph s'était figé, tétanisé, la bouche ouverte, cherchant de l'air, le regard tourné vers son effroyable combat intérieur. Oublié le ministre, la Légion d'honneur, le grand salon et ses dorures. Son corps vibrait comme une chaîne secouée par un forçat fou, ses mains s'accrochaient désespérément aux bras tendus. Joseph Kaiser ne voulait pas mourir.